27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 08:44
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Vos élus régionaux MODEM
  
Bruno JONCOUR
 
Isabelle LE BAL

Bernard MARBOEUF

Anne-Marie CROLAIS 

 Fabrice LOHER

Marie Françoise DRONIOU

Louis CARADEC


Pouvez-vous me donner le nom du président  actuel de la région Bretagne ?" À cette question, moins de 3 Français sur 10 (29 %) sont capables de citer spontanément ce nom, selon un sondage LH2 pour France Bleu et le syndicat de la presse quotidienne régionale (SPQR), paru au début du mois de décembre. L'enquête ne pose pas la question du mode du scrutin, mais, nous n'en doutons pas, les Français seraient encore moins nombreux à pouvoir répondre à cette question. Et pour cause : le mode de scrutin n'est pas des plus simples. Explications des modalités du scrutin, qui se déroule les 14 et 21 mars prochain.

Qui peut voter ?
Quatre conditions doivent être réunies : être âgé de 18 ans ou plus au 1er janvier de l'année de l'élection, détenir la nationalité française, jouir de ses droits civils et politiques, et enfin être inscrit sur les listes électorales, closes au 31 décembre 2009.

Quel mode de scrutin ?
Les conseillers régionaux sont élus par un scrutin de liste majoritaire à deux tours depuis 2005, afin de favoriser la mise en place de majorités stables et de renforcer ainsi les exécutifs régionaux. La loi oblige chaque liste à comprendre autant d'hommes que de femmes.

Que se passe-t-il au premier tour ?
Au premier tour, la liste ayant la majorité absolue des voix obtient le quart des sièges à pourvoir. Les sièges restants sont répartis à la proportionnelle entre les listes ayant obtenu au moins 5 % des voix. Si aucune liste n'obtient la majorité absolue, il y a un second tour.

Et en cas de second tour ?
Au second tour, seules les listes ayant eu 10 % des voix au premier tour peuvent se maintenir. La liste qui obtient le plus de voix dispose du quart des sièges à pourvoir. En cas d'égalité, la liste dont les candidats ont la moyenne d'âge la plus élevée l'emporte. Le reste des sièges est réparti à la proportionnelle entre les listes ayant obtenu au moins 5 % des voix. Les sièges attribués à chaque liste sont répartis entre les sections départementales qui la composent au prorata des voix obtenues par la liste dans chaque département.

Combien de candidats ?
Le nombre de candidats par section départementale est proportionnel à la population du département. Le nombre de candidats par liste ne correspond pas au nombre de conseillers à élire puisque chaque section départementale doit présenter deux candidats de plus que de postes à pourvoir.

Quelles sont les prérogatives d'un conseiller régional ?
Il règle les affaires de la région et exerce des compétences notamment dans le domaine de l'action économique : la construction et l'entretien des collèges, lycées publics, l'organisation des transports, l'aménagement du territoire, le logement.

Pour combien de temps les conseillers régionaux sont-ils élus ?
En raison de la création des conseillers territoriaux, une mesure phare de la réforme territoriale présentée en octobre dernier en Conseil des ministres, et discutée sur les bancs de l'Assemblée nationale depuis le 13 janvier, les conseillers régionaux ne seraient élus que pour quatre ans, au lieu de six pour les conseillers régionaux actuels. Le projet de loi prévoit aussi de réduire à trois ans la durée du mandat des conseillers généraux qui seront élus en 2011. Les futurs conseillers territoriaux, communs à la région et au département, seront désignés par un mode de scrutin inédit en France. 80 % d'entre eux seront élus dans un canton au scrutin majoritaire uninominal à un tour. Les 20 % restants le seront à la proportionnelle. La carte des cantons sera redessinée à cette occasion tandis que la création des conseillers territoriaux réduira de 6.000 à 3.000 le nombre d'élus dans départements
et régions.
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24 janvier 2010 7 24 /01 /janvier /2010 09:24
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Je vous propose de publier dans ce message, les différents sondages qui seront publiés sur les intentions de vote aux prochaines élections régionales.

 
Régionales: 51% d'intentions de vote pour la gauche, selon un sondage
Le total des intentions de vote en faveur des listes de gauche et d'extrême gauche s'établit à 51% tandis que celui des listes de la droite parlementaire et de l'extrême droite atteint 36,5%, selon le sondage.

Avec 27% des intentions de vote, les listes du Parti Socialiste devancent Europe Ecologie (13%) de 14 points. Les listes du Front de gauche recueillent 5%, celles du NPA 3% et celles d'alliance NPA et Front de gauche ou Parti de gauche 1%. Lutte ouvrière obtient 2%.

Les listes UMP/Nouveau Centre sont quant à elles à 27%, le Front National à 8,5%, et les listes divers-droite à 1%.

Le Modem arrive à 6,5% des intentions de vote.


- sondage réalisé par téléphone les 21 et 22 janvier auprès d'un échantillon de 853 personnes inscrites sur les listes électorales extrait d'un échantillon de 969 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. AP

sondage, également réalisé par CSA, pour LCP et Politique-Matin donne les résultats suivants :

UMP : 31%
PS : 21%
Les Verts / Europe écologie : 17%
MoDem : 8%
FN : 8%
Front de gauche : 6%
NPA : 6%
LO : 3%  

Que ce soit l'un ou l'autre, ces deux sondages rappelent un peu les résultats des européennes 2009. Cependant, ce qui est apparu comme une victoire de l'UMP, étant donné le scrutin à un tour, risque de se transformer en lourde défaite pour le camp présidentiel.
En effet, si l'on prend le second sondage, la majorité présidentielle peut se prévaloir du soutien (provisoire) de 36% des électeurs. En face, la gauche parlementaire (front de gauche compris) atteint 43% (en 2004 40,3% au premier tour). Or elle peut compter au second tour sur environ 5-7% de voix, réparties entre NPA et LO, ainsi que sur une bonne partie des électeurs du Modem (en effet, notre mouvement aura énormément de difficulté à dépasser 10% dans une région, peut être en Bretagne c'est jouable !). On dépasse aisément la barre des 50%.
Quant au FN, s'il dépassera cette barre fatidique dans environ 12 régions, à savoir celles où il a fait plus de 15% en 2004 (contre 17 en 2004) étant donné son affaiblissement certain, l'épisode de Hénin-Beaumont et les observations de 2004 incitent à croire que l'UMP ne peut guère compter dessus si le FN n'est pas qualifié.
Le seul enjeu majeur à mon sens n'est pas de dire qui va gagner entre gauche et droite (la grande majorité des régions gagnées en 2004 devraient être conservées par la première), mais qui va être devant l'autre entre écolo et PS au premier tour.
à suivre...
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21 janvier 2010 4 21 /01 /janvier /2010 11:16
Sondages régionales : la gauche profite des déboires de Sarkozy

 

 

 

La vie politique est décidément pleine de paradoxes. Le dernier sondage en date sur les prochaines élections régionales fait apparaître une poussée de l'ensemble des listes de gauche, et une baisse sensible de l'UMP.

 

Un signe que les divisions et les querelles de personnes à gauche comptent moins, dans la période actuelle, que le rejet croissant de la politique de Nicolas Sarkozy.

C'est une inversion complète par rapport aux élections européennes de juin, certes marquées par une abstention record supérieure de plus de la moitié de l'électorat, mais dont le président de la République avait tiré comme leçon qu'il était imbattable, malgré la crise économique.

Une erreur d'appréciation qui l'a sans doute conduit à penser qu'il pouvait passer en force sur ses réformes, et en particulier sur celle de la taxe professionnelle qui lui a mis à dos les élus locaux, acteurs-clé de la campagne des régionales.

 

La gauche mène de 13 points sur la droite

 

Le sondage Opinionway-Fiducial pour le Figaro et LCI (réalisé à partir d'un échantillon représentatif de 1 002 personnes), publié samedi, donne, si les élections avaient lieu ce dimanche :

* un total de 44% des voix à la gauche (PS, Europe Ecologie, Front de gauche) dans son ensemble

* 31% pour la droite (UMP, Nouveau Centre et Alliance écologique indépendante)

* Le Front National obtiendrait 9%, le Modem 7%, et le NPA 4%

En moins de deux mois, selon le même baromètre, l'UMP a perdu 4 points, et le PS en a gagné 3.

A rapprocher d'un autre baromètre, Ifop-Journal du Dimanche, publié ce week-end, et qui révèle une nouvelle chute de popularité de Nicolas Sarkozy. Ce dernier ne recueille plus que 36% d'indice de satisfaction sur son action, soit -2%, contre un record de 63% de mécontents.

François Fillon baisse lui aussi, de 3%, et passe sous la barre des 50% d'opinions favorables, à 48%.

Ces deux sondages vont dans le même sens, et montrent en particulier l'impact du « trou d'air » que traverse la majorité depuis des semaines, avec, en particulier :

* la querelle à ciel ouvert sur la taxe professionnelle, nourrie par la « révolte » des anciens premiers ministres Alain Juppé et Jean-Pierre Raffarin

* la bronca réservée au premier ministre au congrès des maires de France, en l'absence de Nicolas Sarkozy parti en visite « privée » en Arabie Saoudite.

Les divisions de la gauche pèsent peu sur ...

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16 janvier 2010 6 16 /01 /janvier /2010 08:58
"Membre du MoDem, si au second tour de l'élection présidentielle 2012 j'étais contraint de choisir entre un candidat PS et un candidat UMP. Je vote socialiste si le candidat socialiste a accepté la main tendue par François Bayrou sinon au mieux pour le candidat socialiste qui aurait rejeté cette main tendue, je vote blanc !"

Idem pour moi et bien d'autres MoDem de ma connaissance, Nous avons d'ailleurs voté pour S.royal au 2eme tour des dernières élections pour cette raison. Mais ce n'est pas parce que nous nous sentons plus proche des idées humanistes des socialistes que nous sommes prêts à tout accepter.


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13 janvier 2010 3 13 /01 /janvier /2010 14:03
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Aucun bilan n'était encore disponible mercredi, au lendemain du violent séisme qui a frappé Haïti et largement détruit sa capitale, Port-au-Prince. Face à la tragédie qui pourrait avoir affecté trois millions d'habitants, l'aide internationale commençait à s'organiser, avec l'envoi notamment de sauveteurs pour fouiller les décombres.Le bilan risque d'être terrible. De nombreux bâtiments de Port-au-Prince, dont le Palais national de la présidence, se sont effondrés sous l'effet de la secousse de magnitude 7, la plus violente à Haïti depuis 1770, qui s'est produite mardi à 16h53 locales.

 

Des Haïtiens empilaient les cadavres dans les rues dévastées de la capitale mercredi, tandis que d'autres recherchaient rescapés et morts dans les ruines. Un caméraman de l'Associated Press a vu s'effondrer un bâtiment abritant un hôpital dans le quartier de Pétionville. La Croix-Rouge internationale estime que jusqu'à trois des neuf millions d'habitants du pays, l'un des plus pauvres du monde, pourraient être affectés par la catastrophe.

Le président René Préval et sa femme ont survécu, selon l'ambassadeur d'Haïti au Mexique, Robert Manuel, et le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner.

M. Kouchner a également affirmé qu'il semblait que tous les occupants du siège de la Mission des Nations unies pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH) soient morts, y compris le chef de la force, le Tunisien Hedi Annabi.

"Nous savons clairement qu'il s'agit d'une tragédie pour Haïti, et d'une tragédie pour l'ONU, particulièrement pour la mission de maintien de la paix de l'ONU en Haïti", a déclaré Alain Le Roy, directeur des opérations de maintien de la paix des Nations unies. "Il va y avoir des victimes, mais nous ne pouvons pas donner de chiffres à l'heure actuelle", a-t-il ajouté, précisant que "personne n'a pour le moment été extrait des décombres" du bâtiment principal de la MINUSTAH.

Au moins huit des 125 Casques bleus chinois ont péri et dix sont portés disparus, selon le "Quotidien du peuple" chinois dont les informations n'ont pas été confirmées de source officielle; trois Jordaniens ont été tués et 21 autres blessés, d'après l'armée citée par l'agence de presse officielle Petra, et quatre Casques bleus du Brésil, principal contributeur à la MINUSTAH, ont également perdu la vie tandis que cinq autres étaient blessés, a annoncé l'armée.

L'UNESCO a déclaré pour sa part que ses 14 employés en poste à Port-au-Prince n'avaient pas non plus donné de nouvelles.

Selon l'Institut géologique américain (USGS), l'épicentre du séisme était situé à environ 15 km à l'ouest de Port-au-Prince et à 8 km de profondeur. Dans l'heure qui a suivi la première secousse, une série de puissantes répliques ont été enregistrées, les deux principales d'une magnitude de 5,9 et 5,5.

Quelques heures après le séisme, le chaos régnait toujours dans les rues de Port-au-Prince, où plusieurs dizaines de milliers de personnes étaient à la rue, y compris des blessés graves qui réclamaient l'aide de médecins. L'électricité était toujours coupée dans la majeure partie de la ville, et les communications téléphoniques très difficiles à établir.

L'aide internationale commençait cependant à s'organiser. Les Etats-Unis ont proposé toute leur aide civile et militaire, tandis que la France a annoncé l'envoi de deux avions de la Sécurité civile et la mise à disposition d'un hôpital mobile. D'autres avions français suivront, a assuré Bernard Kouchner, ajoutant qu'un hôpital de campagne était déjà prêt. Le secrétaire d'Etat chargé de la Coopération, Alain Joyandet, a annoncé qu'il comptait partir pour Haïti samedi, à la demande du président Nicolas Sarkozy.

L'Italie a annoncé l'envoi d'un avion cargo C-130, d'un hôpital mobile et de personnel médical d'urgence. Le Venezuela va également affréter un avion militaire pour acheminer de la nourriture, des médicaments et de l'eau potable, ainsi qu'une cinquantaine de sauveteurs.

Elizabeth Byrs, porte-parole du Haut commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR), a pour sa part déclaré que le HCR travaillait avec l'ONG Télécoms sans Frontières pour rétablir les lignes téléphoniques, un élément capital pour coordonner les opérations de secours

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13 janvier 2010 3 13 /01 /janvier /2010 13:50
Bayrou critique le débat sur l'identité nationale comme une "manoeuvre" électorale

 

"Nous aimons les racines différentes, la diversité des langues qui fait la richesse d'un pays", a déclaré le président du MoDem à l'occasion de ses voeux à la presse depuis le siège du parti à Paris. "Voilà pourquoi nous détestons les manoeuvres et les manoeuvriers qui, pour s'attacher des bataillons électoraux, cherchent à exciter ce qu'un peuple a de passions sombres, de peurs et de capacités de rejet", a-t-il dénoncé, dans une allusion au débat sur l'identité nationale lancé par le ministre de l'Immigration Eric Besson, quelques mois avant les élections régionales de mars 2010.

 

"Nous pensons que l'identité du peuple français (...), c'est de former une seule nation à partir de tant d'origines différentes", a poursuivi M. Bayrou, mettant en exergue "l'idéal républicain présenté face au monde comme un idéal de résistance à toutes les dominations et à toutes les exclusions", et "la langue française".

Dressant le portrait d'une "autre politique possible, réaliste", le président du MoDem a longuement évoqué la priorité de l'emploi. "Nous voulons une politique de relocalisation des productions", a-t-il réclamé, citant l'Allemagne comme exemple.

M. Bayrou a également appelé à davantage de justice sociale, souhaitant "que l'on demande plus à ceux qui gagnent davantage et que l'on épargne autant que possible ceux dont la vie est plus difficile". Il a jugé nécessaire "une réforme en profondeur de notre fiscalité" qui devra permettre de "sortir des injustices et des impasses", citant "le labyrinthe des niches, le bouclier fiscal, l'ISF (impôt sur la fortune), les évasions fiscales".



J'aimerai que les candidats aux régionales nous précisent leurs pensées sur ce sujet.

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7 janvier 2010 4 07 /01 /janvier /2010 13:34

 




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Départ de PHILIPPE SEGUIN !


Le président du Mouvement Démocrate (MoDem) François Bayrou a salué aujourd'hui en Philippe Séguin "un républicain" qui "ne renonçait pas à combattre même s'il apparaissait seul contre tous".

"Le premier mot qui vient à l'esprit, c'est républicain. Il était républicain par son parcours et par ses valeurs", a déclaré M. Bayrou à l'AFP après l'annonce de la mort dans la nuit du premier président de la Cour des Comptes.

"Deuxième trait de caractère, il ne renonçait pas à combattre même s'il apparaissait seul contre tous", a-t-il ajouté. "Il avait sûrement un certain orgueil, bienvenu dans cette affirmation du combat pour les idées".

Il avait "un caractère, que certains diront mauvais mais souvent le mauvais caractère est la traduction dans le langage de tous les jours du caractère tout court", a poursuivi le leader centriste.

"Tout le monde entendait bien derrière son grand rire, une trace de mélancolie. Cette fêlure sur fond de tristesse le rendait plus attachant aux yeux de ceux qui l'aimaient. Il va manquer profondément à la vie publique en France", a-t-il aussi déclaré.

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 16:48
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BONNE ANNEE BLOAVEZ MAD
  David BIGER
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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 16:10

Le nouveau conseil d'administration du théâtre de Cornouaiille vient d'être dévoilé. Chantal Jolivet en est la présidente.

 

Elle est entrée au bureau en juillet 2009. Elle remplace Jean-Michel Blanc. Le vice-président est Nicolas Gonidec, le secrétaire : Jean-Yves Penven. Par ailleurs, Pascale Métais devient trésorière, remplaçant ainsi Jacques Denis et David Biger entre au bureau comme trésorier. adj. La Scène nationale a le statut d'une association loi 1901 avec la spécificité de beaucoup de scènes nationales : des statuts fermés. Les membres de l'association soutiennent politiquement et financièrement le projet de la Scène nationale. Y sont représentées : la Ville, l'Etat, le conseil général et six personnes de la société civile cooptées par les tutelles locales. Les postes principaux leur sont affectés (présidente, trésorier...). Le conseil d'administration est renouvelable par tiers tous les trois ans. La mission des membres de l'association est de promouvoir le théâtre, d'être un peu les oreilles de cette institution. Ils ont aussi un droit de regard sur le vote du budget, sa gestion, il veille sur le respect du cahier des charges, en l'occurrence la défense de la création musicale pour Quimper.

Mais c'est aussi pour eux, passionnés de théâtre, « le bonheur d'être associés à ceux qui y travaillent » comme le souligne Isabelle de Longvilliers, membre du bureau depuis 2005. « Nous comptons sur le CA pour relayer la politique complexe de la Scène nationale, en faire comprendre les enjeux financiers et culturels » précise le nouveau directeur Franck Becker.

 

Theatre-de-Cornouaille.jpg

Le conseil municipal de Quimper à adopté le projet MAX JACOB.
Ci dessus le nouveau bureau du Theatre de Cornouaille, David BIGER
nommé en septembre dernier.
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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 16:06
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Qu'elle beau couple ? 2010....2012 ?

"Tout le monde est démocrate" ? Que nenni ! Il suffit d'écouter deux minutes n'importe quel politicien(ne) du pays ou politiciene locale pour s'en rendre compte (à quelques exceptions près, évidemment). Au-delà, cautionner le système électoral et institutionnel actuel, revient également à une incompatibilité avec le qualificatif de démocrate. Tout cela, nous devons le formaliser et le développer (François Bayrou a fait les trois quarts du boulot, mais qui l'a lu ou écouté ? seule une minorité des adhérents, manifestement), et le diffuser auprès de la population, sur le terrain, dans notre entourage, partout, inlassablement et fermement. Quand je constate que nous en sommes toujours au même point qu'en 2007 (tant du point de vue des questionnements sur le fonctionnement interne, que sur le positionnement politique et son explication auprès des gens), des fois je me dis, autant rester dans ses pantoufles devant la télé. Il semblerait bien que nos dirigeants (quels qu'ils soient...) n'attendent d'ailleurs que ça. (heureusement je n'ai ni les unes, ni l'autre)

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